Kamal, 30 ans, était rentré chez lui après les violences subies, pensant que ses blessures n’étaient que superficielles. Mais des douleurs très fortes à la tête se sont faites ressentir mardi, jour où il s’est rendu à l’hôpital.
Une toute autre version est soutenue par les autorités locales selon laquelle Kamal Omari n’est pas mort de ses blessures mais d’un arrêt cardiaque. Le parquet de Safi a tout de même ordonné une enquête pour déterminer les circonstances de ce décès.
D’après Hassan Benajah, membre dirigeant d’Al Adl wal Ihssane à Safi, la victime était très active au sein de la jeunesse du mouvement islamiste.
Son frère, interrogé par la presse, avance lui que le défunt n’était pas un militant du Mouvement 20 février et qu’il aurait été frappé par les forces auxiliaires alors qu’il se rendait à son travail.